Pourquoi ce « Home Sweet Home » breton ?
La Bretagne bénéficie d’une attractivité naturelle, d’un littoral fascinant (2700 km de côtes), d’un patrimoine culturel et immobilier d’exception dont certaines collectivités veulent parfois se séparer. Elle bénéficie également d’une faible densité d’habitants/km², d’une économie dynamique et d’un taux de chômage parmi les plus bas : 7,5 % de la population active au second trimestre 2018, contre 8,7 % au niveau national. Selon l’Insee, la Bretagne est aussi la région dans laquelle les inégalités de revenus sont les moins fortes et où le taux de pauvreté compte parmi les plus faibles. Tous ces éléments favorisent à l’évidence cette volonté d’ancrage local.
Prix de l’immobilier : - 3,4 % depuis 2013
Ces dernières années, ici plus qu’ailleurs, les prêts à taux zéro (PTZ) ont contribué à doper ce statut de propriétaire. D’autant que les prix de l’immobilier en Bretagne, selon les professionnels de l’immobilier, restent raisonnables, voire très favorables à l’investissement. En octobre, le prix moyen/m² d’une maison se stabilise ainsi autour de 1700 euros, ce qui constitue une baisse de 3,4 % par rapport à 2013, et une diminution de 3,8% par rapport à 2008. C’est dans les Côtes d’Armor que les prix sont les moins élevés, avec une moyenne de 1400 euros/m², contre 1900 euros/m² dans le Morbihan.