Dijon, favorable pour l’emploi et le logement

Dijon, élément moteur pour la région

La Bourgogne-Franche-Comté est un territoire important du nord-est de la France. Elle s’étend sur 47 800 km², ce qui la place au 5^e rang des régions les plus vastes de France. Elle englobe 8 départements (l’Yonne, la Côte d’Or, la Nièvre, la Saône-et-Loire, le Jura, le Doubs, la Haute-Saône et le Territoire de Belfort) et recense 2 820 000 habitants. Territoire avant tout rural, peu densément peuplé, la région Bourgogne-Franche-Comté compte tout de même 23 villes de plus de 10 000 habitants, et 2 villes dépassant les 100 000 habitants, dont Dijon, chef-lieu de la Côte d’Or.

Dijon est aussi la capitale régionale. Elle accueille 160 000 habitants intra-muros, et environ 255 000 sur l’ensemble de son agglomération. L’ancienne capitale du Duché de Bourgogne, honorée aujourd’hui par l’Unesco pour sa situation privilégiée au cœur du périmètre des Climats du vignoble de Bourgogne, se distingue par son attractivité économique (secteurs de l’agro-alimentaire et de l’agronomie, entre autres) et par son taux de chômage relativement peu élevé (7,5%).

Cité internationale de la gastronomie et du vin

Dijon doit notamment cette bonne santé au rayonnement de ses 6 principaux pôles d’activités, aux 400 hectares alloués aux entreprises depuis 2001, mais aussi à ses chantiers de construction de grande ampleur, tels que celui de la Cité internationale de la Gastronomie et du Vin, dont le bassin dijonnais attend beaucoup.

Ce projet d’envergure prend forme mois après mois. Il sera inauguré sur le site historique de l’ancien hôpital général de la ville. Il aura une vocation culturelle et touristique, ainsi qu’une vocation d’excellence en termes de formation aux métiers de la gastronomie. Ce n’est pas tout. Un pôle commercial de 4500 m² ainsi qu’un écoquartier de 540 logements verront le jour autour de cette Cité internationale.

Quartiers : 6500 nouveaux logements en 10 ans

Des nouveaux quartiers, la ville en fait désormais éclore régulièrement : Heudelet ou Via Romana pour ne citer que les plus récents. Objectif des élus : être en phase avec l’accroissement constant de la population, phénomène démographique exceptionnel à l’échelle régionale et quasi unique dans le nord-est de la France. Plusieurs centaines de logements voient ainsi le jour chaque année aux quatre coins de Dijon. Au total, ce sont plus de 6500 nouveaux logements qui ont été construits depuis 2009.  Cela a des conséquences positives sur le prix du m², puisqu’il ne flambe pas. Il enregistre même une baisse de 2,1% sur 10 ans. Fin 2018, le prix moyen d’un appartement se négocie autour de 1959 euros/m², tandis que le prix moyen d’une maison s’élève à 2346 euros/m².  N'hésitez pas à consulter le montant de la taxe foncière de votre département avant d'y acquérir un bien.

8% de logements vacants à Dijon Des opportunités d’investissement à Dijon, il en existe de plus en plus, dans l’immobilier neuf comme sur le marché de l’ancien. D’autant que sur les 90 000 logements que compte la ville, 8 % sont actuellement vacants, selon l’Insee. Parmi ces logements, on recense une part de biens immobiliers appartenant à des collectivités locales, qui choisissent la plateforme d’enchères en ligne Agorastore pour vendre leurs bâtiments publics (anciens locaux associatifs ou Ehpad par exemple), et autres terrains bâtis ou non bâtis à des acheteurs privés, qu’ils soient des particuliers ou des professionnels.